dans un
virage en épingle près d'un réservoir.
Dans l'épingle prendre le chemin vers l'ouest,
après une dizaine de minutes, prendre à droite vers le nord-est.
Passer au "Mas de Leuilly", à une fourche, prendre à gauche, balise jaune.
La pente s'accentue nettement et devient très humide par endroit.
Après environ 30 mn, le chemin atteint un replat.
Prendre sur la gauche, un sentier qui conduit vers la crête.
Bifurquer vers le sud pour atteindre le pied de l'aiguille.
Le sommet peut être atteint en escalade....réservé aux chevronnés.
Contourner l'aiguille par la gauche pour rejoindre un promontoire au sud des
rochers.
Une plate-forme est accessible, avec une très jolie vue.

Pour le retour, revenir sur ses pas jusqu'au
bas de la pente terminale.
Prendre à gauche la descente en lacets à travers la forêt.
Rejoindre un chemin plus large vers le nord, balisage jaune.
Il contourne une clairière et atteint un carrefour et part vers le sud,
grande descente jusqu'à "Trépaloup".
Il rejoint le chemin de l'aller, et l'épingle de la route. |
à
savoir:
• Le Néron ne tire pas son nom de
l'empereur romain, mais d'un terme du dialecte local,
neiron, signifiant « noir ».
Lors de la canicule de l'été 2003, le Néron a subi un incendie de plusieurs
semaines.
• Les carrières de meules de moulin,
au lieu-dit "Trépaloup", une des plus grandes meulières de France.
Entre le clocher et l’aiguille, les
arêtes de cette pyramide, autrefois plantées en vignes, se couvrent peu à peu de
forêts envahies de sangliers.
C’est dans l’un de ces bois, à 750 m d’altitude, que se trouvent les meulières.
"Elles furent implantées d’un bout à l’autre
d’une petite falaise longue de 400 m, enfoncée dans les flancs de l’aiguille de
Quaix à la manière d’une mansarde assise sur la pente d’un toit.
Là, un banc de roche meulière épais de deux à trois mètres et dressé presque à
la verticale s’offrait aux pics des tailleurs de meules. "Perrières de Quaix",
carrières de Trépaloup,
du Grand Crédot, de la Molère ou de Plan Martin, noms que leur donnaient les
anciens." |